C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de di dans la Base des Partiels 

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[1] Pour quoy ie di certainement que on pourroit enuironner toute la terre du monde, aussi bien par dessouz comme par desseure, et retourner arriere en son pays (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 332).
[2] Je di donques que ceste elevation de l'ame hors dou monde et coses corporelles iusques a elle meismes ou iusques aux anges ou iusques a Dieu, (...) se fait par une forte et sainte pensée (* *, 39).
[3] Je di voyr en bonne foy, Igl e ci trés bonnes galles [l. galloises] Che tute troy comere sont; Elle mingion de gallines, De perdis e de capons. Lors homes sont a l'eglise (Trois comm. M., 15e s. [1475], 537).
[4] Bon Advis (...) Argent, di moy un peu ton cas! Argent Ne m'en menés par Dieu la cache. Bon Advis (...) Tu es aloué a leur pache? Argent Par mon serment, j'en suis las... (OLIOU, Mess. Arg. A., c.1470, 464).
[5] Ses senieurs ny ces avocas Si ne l'ont pas fest, je le vous di. S'ont fait d'aultres ung grant tas Qui m'ont adobé tout anssi. (OLIOU, Mess. Arg. A., c.1470, 470).
[6] L'Omme (...) Faut il dont que avec vous m'en aille, Terre mere? Terre Sertes ouy! Home, je le te di sens faille: Car ton termine est asouy! (OLIOU, Mess. Arg. A., c.1470, 492).
[7] Au royaulme de paradis, Pour estre soir di hi avoir place... (OLIOU, Mess. Arg. A., c.1470, 499).
[8] «...je vous remercye et tant vous di je qu'il ne sera jamais rien dont je puisse finer que pour vostre seule parole je fache, tant me soit grief ou chier.» (Comte Artois S., c.1453-1467, 134).
[9] «...Et ne doibt l'en avoir foy a vostre loy, qui dittes que les biens que vous avés et dont vous vivés viennent du dieu ouquel vous croés, et a ses menistres, serviteurs et messagez ne donnés que ce qui vous puet demourer ou quy jamais ne vous peult servir. Et pour tant dy je que c'est ja faulte trouvee en vostre loy, et plus ne vous en di». Sainte Marie ! comme fu doulant Jehan de Pontieu quant ainsi se senti redargué de Salhadin ! (Saladin C., c.1465-1468, 81).
[10] Quant le Cuer se vit ainsi bien armé, monté et aorné, ne demandez pas qui fut plus aise ne plus joyeux de lui ; de contentesse ne di ge pas ce, car ce doulx bien la lui estoit a avenir. (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 29).

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