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... [Maistre Jehan de Clugny, ambassadeur du duc de Bourgogne aux députés du roi de France] (r)Ce que je diray aprés sera a la correction de mes treshonnoréz seigneurs, messieurs de Simay et de Montigny cy present, et a la benigne surportance de vous, reverend pere en Dieu, monsieur de Constance, et des aultres mes treshonnoréz seigneurs estans cy deputéz du roy...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 43). |
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Se doncques quelque autre le [le roi Charles VII défunt] voloit intituler de puissant et allegast que depuis Charlemaine n'a eu roy si puissant en France, et par tant moy semons de y respondre qu'en diray je ? (...) Je respons voirement que je ne decline point du nom qu'il ne soit ainsi, mes je decline de l'aveu de le souffrir reposer en sy peu de gloire (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 317). |
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"...De charité qui est le mortier et le ciment de tout l'edifice espirituel, qu'en diray je ? Je diray que la fin en est venue ; elle est effacee, aneantie jusques au fondement." (Horloge de sapience S., c.1389, 81). |
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"...De charité qui est le mortier et le ciment de tout l'edifice espirituel, qu'en diray je ? Je diray que la fin en est venue ; elle est effacee, aneantie jusques au fondement." (Horloge de sapience S., c.1389, 81). |
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Suers, je vous diray comment aucune foys vertus s'est representee devant les yeulx de ma pensee, tant belle, tant clere, tant serie, tant solacieuse et delicieuse que riens plus (* *, 175). |
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...Je n'en diray plus Si ne faictes taire se marpault. (Pipée R., c.1470-1480, 160). |
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... «Trop vous voy adolé, monseigneur,» fait elle, «et orez plus fors c'oncquez mais, pourquoy, sy m'aist Dieux, j'ay tant d'anoy au cuer que je ne sçay comment tant en puis porter ; et me pardonnez ce que cy vous diray en benedicité, car pour pitié et vostre bien le fay et non aultrement...» (Comte Artois S., c.1453-1467, 117). |
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...et pour ce que c'est la condicion dez hommez quant il ont joÿ une fois de leurs amours que il veulent souvent parler, luy diray je estroitement que sans en faire signez ne parolez qu'il le die a son Phlipot comme a celuy a qui je me veul seulement fier (Comte Artois S., c.1453-1467, 125). |
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- Hellas! que feray je? que diray je ne où yray je desormais en avant, quant j'ay perdu la plus belle, la meilleur, la plus adornee de toutes belles et bonnes taches qui fust, pour femmes mortelles, en cest monde et celle qui estoit commencement et moyen de tout mon bien et mon honneur et l'adresse de tous mes affaires? (Cleriadus Z., c.1440-1444, 348). |
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...et lui disoit ces parrolles affin qu'elle lui deist plus hardiement. Donaïfs lui dist: - Adonc, beau frere, puisque vous m'avez tant essermentee, je le vous diray. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 582). |
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Attestation de 