C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dirent dans la Base des Partiels 

66 attestations 
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[1] Et me dirent aucuns qui l'ont hanté en sa court, depuis qu'il est seigneur, une partie de ses condicions et en quoy il se delite. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 181).
[2] Et l... dit Bertin, qui tenoit vne lance en sa main : (r)Ie regnie Dieu ! ie yré parler aux Espaignols, et se ilz y mettent la main, ie les turé, ou ils me turont, car ie prie ... Dieu que iamès ie n'en puisse retourner». Dequoy aucuns de ceulx qui l... estoient lui dirent : (r)Bertyn, c'est mal dit». Et de rechief : (r)Ma vye ie emprie ... Dieu de Paradis». (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 21).
[3] ...tout cil qui la estoient enfuirent si esmary que il ny ot cellui qui sceust que dirent ne qui ... paynes sonnast mot. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 323).
[4] ...et jusques a ce que les phisiciens lui dirent que s'il ne mengoit, qu'il estoit mort. (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 416).
[5] Et y vint ledit maistre au jour comme l'avoit promis, la ou ensemble ilz deviserent de leur affaire, et luy dirent ce qu'ilz avoient receu en charge de luy dire, quy guieres n'en fit grant feste et y restiva ung petit alencontre, pour cause que la matiere estoit haulte et moult grant et n'avoit point de terme pour la bien incorporer (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 31).
[6] Si n'y demora que ung jour entredeux que ung nommé le Petit Meny, seigneur de Mainpas et bailly de Berry, ensemble messire Jehan d'Olon, seneschal de Beaucaire, furent envoyéz du roy devers les chevaliers de l'ambassadde, et par son ordonnance luy dirent que ilz avoient le commandement de les mener devers ly (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 32).
[7] ...n'avoit onquez esté veu en nul ostel de prince que chevalier [que chevalier] levast emprise sans aveu de cely ; et rengans autour de luy pluseurs luy dirent que point ne se devoit faire. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 133).
[8] ...a yceulx cinq [le duc] alla racompter les parolles de messire Henry ; et, (...), dirent qu'il estoit bon de luy donner rencontre, non obstant qu'il ne seoit pas a deux d'un ostel estre souffert d'entrer en celuy dangier, mes l'outraige de l'un pooit bien donner couverture a ung aultre de faire samblable. Si ne demora riens que tantost messire Jehan de Rebremette, par l'ennortement de son maistre le bastard et de Meriadec qui fort y tint la main, s'en vint a messire Henry en pleine salle (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 137).
[9] ...car [aucuns] dirent, et ainsi me fut recordé aussi, que c'estoit la propre et la mesmes daggue dont aultre fois avoit tué a petite cause son cousin le conte de Douglas, le prince de son sang le mieulx adressié et le plus puissant de son royaulme (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 254).
[10] Et ce fait, sans soy bougier du parc, s'alla presenter a ceulx de la loy et leur demanda s'il avoit souffissamment accompli son devoir ; et lui dirent que oy. Si se rua a genoux ou milieu du parquet et a jointes mains rendit graces a Dieu tout hault. Et pria au duc, qui estoit tousjours dariere la treille, qu'il lui pleust avoir agreable le povre devoir qu'il avoit fait en deffendant sa vie. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 326).

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