C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de diroient dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] Que diroyent ja les Juys Se mon fils n'estoit circoncis ? En temps advenir ils diroient Et contre lui proposeroient Que point ne venroit pour instruire Le temple, mais la loy destruire. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 29).
[2] Je respon que aucuns diroient que Jhesu Crist ne fu onques roy temporel precisement de Jherusalem ou d'Israel, si comme il meismes le monstre en l'Evangile ou il dit: Regnum meum non est de hoc mundo; si ex hoc mundo esset, etc. . (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 156).
[3] Pour ce diroient ilz aussy que cilz qui seroit né en constellacion de vertu sanative gueriroit en son temps les malades par la propre vertu qui lui seroit du ciel donnee. Et de ce treuve len en l'hystoire rommaine que un qui estoit aveugle de nativité ot response des dieux que s'il aloit a l'empereur et lui priast de cuer tres humblement qu'il lui voulsist les yeux touchier de sa propre salive, qu'il se verroit guery oultreement. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 41).
[4] «...Ja n'y ariés parent (...) Se Karle vous faisoit tous les menbres trenchier, Qui pour vo vie rescourre presentast ung denier (...) Ains diroient trestous : «Se sont .IIII. loudier, Cuvert, preseux, ribaut ; laissons ent le plaidier...» (Renaut Mont. B.N. V., c.1351-1400, 244).
[5] ...d'icelles [places] et de chascune l'en avons mis et mettons en possession et saisine paisible, comme en la soue propre chose, en deboutant et privant touz autres qui dorez en avant diroient avoir droit, tant en proprieté comme en obligacion, ou autrement, en ycelles, paravant ceste presente baillete, par la teneur de ces presentes. (Doc. Poitou G., t.3, 1348-1369, 262).
[6] ...ilz avoient neccessairement à luy dire certaines grans choses secretes, dont ilz et autres habitans des Maroies de Mons avoient à besongner, et que, s'il leur vouloit promettre de les tenir secrètes, ilz les diroient et le contenteroient de ce qu'il feroit pour eulx à son plaisir, et que s'ilz pooient venir à leur entencion que jamais ils n'auroient souffreté de rien. (Doc. Poitou G., t.11, 1465-1474, 236).
[7] Neis, que diroient li signeur Dont tu as tant eü dou leur (FROISS., Joli buiss. F., 1373, 51).

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