| [1]
...et nous eust esté faict tort si ne fust le seigneur qui nous feist bonne chiere disant qu'il nous voulloit faire toute raison. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 20). |
| [2]
...ils ne purent ryens recouurer, en disant que ils estoient robeurs, et que ils auoient affondré trois nauires, et prins et pillé se qui estoit dedens. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 7). |
| [3]
Et lui estant en Siuille, les maroniers, meuls de maluès courages, descouragerent tellement toute la compagnie, en disant que ils auoient pou de viures, et que on les menoit mourir (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 8). |
| [4]
Je le blasmay moult de ceste créance, en disant que ce n'estoit mie ames de gens, car ce estoient bestes desraisonnables (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 304). |
| [5]
Et cil qui se doit occirre a vn coutel bien trenchant en sa main et coppe vne piece de sa char et la giete en la face de lydole en disant ses oroisons ; et le recommandent a ce dieu, et puis se fiert et plaie tant par deca et par dela, quil chiet mort. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 329). |
| [6]
mais seulement disoient ledit duc de Bourbon et ses aliés que le roy n'estoit pas sage assés pour avoir et gouverner le royaulme de France, lequel il convenoit estre gouverné par les nobles du sanc de France et non point par ledit roy seul ne ... sa voulenté, qui est directement contre le dit du philosophe disant: Pluralitas principum mala . (* *, 53). |
| [7]
...et se excuserent en disant que par les grans extorcions que leur avoient faites les gens d'armes du Roy (...) ilz s'estoient rebellez (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 79). |
| [8]
A quoy ledit de Clugny respondi que, par ladicte proposition, le duc leur maistre ne ses ambassaeurs n'avoient aulcunement baillé charge au roy, (...), disant qu'a eulx n'appertenoit point de baillier le tort au roy ne a monsieur son filz (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 54). |
| [9]
Et dist celuy de Dunois que le roy incontinent luy [audit de Clugny] envoya l'evesque de Constance pour luy tout communiquier, et qu'on auroit honneste responce, disant aussy que de lui meismes ladicte proposition luy sambloit bonne et bien humble, au surplus que devant le conte du Maine et luy ledit de Clugny deist sa creance en faisant narration de toutes les choses communiquees aveuc les deputéz. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 55). |
| [10]
Si se congrea icy une dure envie entre ceulx de Croy et le sang du chancelier (...). Dont a ceste darreniere fois, quand virent qu'en cas d'honneur qui poignoit le sang du chancelier encoire surmonteroit le leur, a priemes leur commença a cuire leur playe, et le viel mal conceu ja longuement contre iceluy tourna tout maintenant en appostume, disant qu'a peines mort leur seroit aussi aggreable que le souffrir plus (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 106). |
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Attestation de 