C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de disdrent dans la Base des Partiels 

9 attestations 
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[1] Les deux autres chevaliers qui la estoient vindrent au Chevalier Bleu, lesquelz jousterent l'un aprés l'autre. Et tous deux furent abatuz et au cheoir ne y eut celui qui ne fust blecié. Si disdrent touz quatre a ung accord : "Sire chevalier, nous vous avons fait une folle attainte et nous vous crions mercy..." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 72).
[2] Le roy s'i accorda et les chevaliers disdrent que "tandis que voustre estat se mettra en point, on dancera et s'esbatera l'en en pluseurs jeux." Le roy dist que c'estoit bien dit ; si envoya querir la royne et ses maistres d'ostel. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 76).
[3] Quant le roy eut tout dit, il demanda a messire Bourdains et a messire Pavillans de leurs erremens et ou ilz avoient esté depuis qu'ilz partirent de court. Et ilz lui disdrent tout ce qu'i leur estoit advenu (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 87).
[4] Et firent tant [les ambaxadeurs] que en assez bref terme revindrent devers le duc et lui disdrent ce qu'ilz avoient trouvé ; et lui disdrent : "A ce que nous sentons de la royne, ne vous y attendez point, car elle ne vous prendra point en mariage, et en sommez touz asseurez." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 176).
[5] Et firent tant [les ambaxadeurs] que en assez bref terme revindrent devers le duc et lui disdrent ce qu'ilz avoient trouvé ; et lui disdrent : "A ce que nous sentons de la royne, ne vous y attendez point, car elle ne vous prendra point en mariage, et en sommez touz asseurez." (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 176).
[6] ...si y avoit pluseurs gens a l'eure qui disdrent qu'il [l'enfant tombé à l'eau] estoit mort, et que la justice les apprehenderoit, et qu'il seroit bon qu'il fust remis. (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 24).
[7] ...quant il vit la pitié et le travail ou elle [la femme enceinte] estoit il commença a pleurer et prier devotement Dieu pour elle, et les femmes qui la gardoient luy disdrent : «Por Dieu, lisez la vie sainte Margarite sur votre seur, et au plaisir Dieu elle enfantera». (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 42).
[8] Ledit Charlot ler [aux brigands] dist derechief qu'il leur donneroit cent escuz (...) et les dessusdiz brigans luy disdrent qu'il se confessast (...) Et la ledit Charlot dist son Confiteor et son In manus, et a ycelle heure luy couperent le col, le bras et le petit doy de la main. A ycelle heure les dessusdiz brigans s'en allerent, et en emporterent son harnoys et toute sa despoille, et le laisserent comme tout mort (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 119).
[9] ...ledit Charlot commença fort a trembler, et luy vint en voulenté de descendre en la vallee ; (...) et quant il fut au bas, vint a luy deux brigans, et luy disdrent : «Tu n'es pas mort !». Et la l'un d'iceulx luy donna d'ung levier sur la teste, et pareillement luy donna son compaignon d'ung autre levier sur sa dite teste, mais oncques ledit Charlot n'en tunba. (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 119).

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