C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dismes dans la Base des Partiels 

25 attestations 
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[1] ...a la par fin, dismes au dict Califf, nostre trucheman, que s'il n'appointoit a eulx et que noyse survint, qu'il se tint seur, que le depescherions le premier. (Pèler. D., 1486, 405).
[2] plusieurs rentes, droittures, roages, forages, dismes et autres drois seigneuriaulx (* *, 17).
[3] HERODE. Avez vous fait comme nous dismes ? N'y est il demouré enfant Soubz l'aage de deux ans estant, Qui n'ait passé par la fenestre ? AGRIPART. Tout est rifflé. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 367).
[4] Voisent a l'eglise tout le plus que elles pourront, payent a Dieu loyaument leurs dismes, et non mie des pires choses (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 220).
[5] Et vos blés et les rentes de vos vignes il les adismera et en prendra les dismes pour les donner a ceulz qui les garderont, ses femmes et ses varlés. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 149).
[6] ...le Saint Pere de Ronme, a l'exemple de Jhesuchrist, ne doit mie querir ne desirer telle recognescance verbal ou honmage, car il luy doit souffire de la recognescence que ilz font quant ilz poient deübment lez dismes, lezquellez Diex a reservé en signe de signourie universele et de souveranité (Songe verg. S., t.2, 1378, 60).
[7] Item, en la Loy ancienne, lez Levites avoient lez dismes pour leur substentacion, afin que ilz puissent plus vaquier au service divin et en contemplacion. (Songe verg. S., t.2, 1378, 234).
[8] En novembre mil IIIIcXXXI fut dit et decleré par Jehan Fournier juge d'Anjou et du Maine, etc., tenant ses delivrances en la cause d'entre l'abbé du Pont Otron et le curé de Chantocé, le debat d'entre eulx touchant certaines dismes sur quoy ledit abbé voulloit decliner, disant que au regard du petitoire et droit desdictes dismes il n'estoit tenu de respondre (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.2, 1437, 40).
[9] En novembre mil IIIIcXXXI fut dit et decleré par Jehan Fournier juge d'Anjou et du Maine, etc., tenant ses delivrances en la cause d'entre l'abbé du Pont Otron et le curé de Chantocé, le debat d'entre eulx touchant certaines dismes sur quoy ledit abbé voulloit decliner, disant que au regard du petitoire et droit desdictes dismes il n'estoit tenu de respondre (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.2, 1437, 40).
[10] Il est troys manieres de dismes ; c'est assavoir la disme anxienne, la disme des nouvalles, et la disme des exemplais. (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.2, 1437, 41).

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