C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dist dans la Base des Partiels 

1689 attestations 
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[1] Elle a esté arse et destruicte comme ou dist par le Tamburlant environ l'an mil CCCC, car encores y voit on les enseignes (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 35).
[2] ...et dist on qu'elle sue toudis et que celle sueur est uyle. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 64).
[3] Et me dist qu'il y a moult d'estranges bestes comme lyons, elephans, sçarafes, licornes et goristes (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 144).
[4] Par especial, il dist qu'il y a serpens qui ont cent et L braches de long (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 144).
[5] ...on dist qu'elle fut une autre fois rescousse des galeres qui revenoient de la Tane. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 164).
[6] On m'a dist aussi qu'il het assés la guerre et ainsi me le samble il, car s'il vouloit exequiter la puissance qu'il a et sa grant revenue, veu la petite resistence qu'il treuve en la crestienté, ce seroit ... luy legiere chose ... en conquester une grant partie. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 181).
[7] ...et pour ce que on dist en commun langaige : Il est fort comme ung Turc, j'ay veu trop sans comparison des Crestiens plus fors que eulx pour faire des choses de force (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 217).
[8] Et leur dist qu'il se vouloit faire baptiser lui et tout son hostellée, dont mgr. de Bethencourt fut bien ioieulx et toute la compagnie (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 73).
[9] Adonc led. Gadiffer lui dist qu'il auoit esté vng grant espasse de temps en sa compagnie, l... o- il auoit eu de grant trauaulx, et que il lui feroit bien mal d'auoir pardu sa paine, et qu'il lui baillast vne ou deulx de ces isles, ... celle fin qui les omentast et mist en valeur pour lui et les siens (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 103).
[10] Mais quelque chose que on dist aud. Bethencourt, il dicimuloit tousiours pour cause qu'il auoit ayde d'eulx, et aussi qu'il estoit en estrange pais, et ne vouloit point que on leur fit nul desplaisir, si non en raison. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 143).

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