| [1]
...le roy par grant deuocion moulle ses dois de lorme [l. lorine], que ilz appellent ghaul, et moulle son front et sa poitrine auecques grant reuerence, par entencion quil soit remplis des uertus dessus dites que le buef a en ly. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 326). |
| [2]
Et ainsi s'en vont par les montaignes et rochiers leurs dites lances au poing et une targecte courans comme lepvriers (Pèler. D., 1486, 401). |
| [3]
pour le temps prenant pié du quinziesme jour du dit moys d'aoust jusques au jour que par le contenu en noz dites autres lettres patentes doit commencier l'entretenue de payement du dit regard, et pour rate d'icellui temps... (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 163). |
| [4]
que par bons moyens il a fait vuider et desencombrer le dit pais, tant des dites gens de guerre comme des autres delinquans (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 187). |
| [5]
et pour d'iceulx capitaines avoir raporté des dites places (...) la recepcion et lettres de responce (Chron. Mt-St-Mich. L., t.2, Pièces diverses, 1432-1463, 198). |
| [6]
Si vous prie, tresdouz Sires, qe de vos dieux oeux pleynes de pité et misericorde il vous plese mes dolorousez plaies regarder et mediciner et de tout garrir les quatre plaies devant dites : ses sont les orailles, les oeux, les nees, la bouche. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 64). |
| [7]
...et si ensi poeit estre, douz Sires, adonqes vous vorroie requere q'il vous pleust de vostre tresseintisme grace de me former et faire un novel coer de celuy precious sank qe par si grante gobetz vous cheierent hors del benoite costé ; et si grandes estoient bien les dites pieces de sank qe a vous, tresdouz Meistres, ne serroit mye meistrie de une de meyndres de me faire un tout novel coer (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 186). |
| [8]
Et, coment, douz Sires, qe les dites medicines soient nobles et richez et vous chier les achatastes, et jeo poure mendevant qe nule bien n'ai ne ne puisse avoir si vous ne le me donetz, pur ceo ne lerroie mye a le demander hardiement. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 188). |
| [9]
Je concede bien que personnes vacans aux euvres de pitié, teles comme tu as dessus exprimé, presupposees les manieres et condicions dessus dites, peuent souvent approuchier ce digne sacrement combien qu'ilz ne sentent pas tele notable doulceur et ferveur que je presupposoie. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 155). |
| [10]
...il supplie a ses treschiers, tresamés et reverens peres en Dieu le prieur et le covent des Celestins que, tantost et sans arest que l'ame sera partie du corps, la charongne du pelerin soit despoullie toute nue, exepté que une petite pieche de sac ou d'un touillon de cuisine en forme d'un escu soit mise et bien atachie sur les membres honteux du povre pelerin, c'est asavoir a .II. cordes petites atachies as .II. cornes de l'escu et puis entour les rains de la charongne morte, et une corde au pié de l'escu de la pieche entredeus cuisses et ramenee par deriere et atachie as .II. cordes desus dites. (MéZIèRES, Test. G., 1392, 308). |
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Attestation de 