C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dittes dans la Base des Partiels 

127 attestations 
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[1] ...si le samedi n'avés loisir ou ne le poves feire que les dittes le dimenche avec bonne et vraye devocion par affin que par icelles bonnes prieres a la pucelle Nostre Dame qui ne pourta que ung enfant plaise me achater grace avec luy que je puisse sain et sauf fere mon voyatge a mon honneur et sauvacion. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 13).
[2] ...les dittes nefs ambedeux se entre fierent dez chasteaux davant tellement qu'il sembloyt que toutes deux fussent debrisees, si que de le nostre se rompi assés de fustatge et toutes les deux bonetes que se tenoient en le voille du grant albre en le quelle fist de si grans partus que par le mendre pourroie bien passer une grosse pipe (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 70).
[3] ...la dame (...), commença a demander de rechief : (r)Monsr, doncques, puis que vous dittes que vous n'en estes point assotté [de messire Prigent], pourquoy l'entretenez vous ? Et a l'autre léz aussi (...), pourquoy doncques ly et son semblable ne les entretenez aussi en estat estable sans avoir sy souvent mutation empréz vous, dont nouvellettéz et divisions sourdent, de grant playe a vostre couronne...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 312).
[4] Il convient que le cuer devot et seulet soit ravy par amoureux desir dedans les dittes tenebres ou sonne ceste voix et qu'il soit joint a celluy qui le forme et sonne, c'est ung seul Dieu en son eternite. (* *, 135).
[5] ... «Trop faittez matte chiere, Phlipot,» fait il, «et bien sçay et voy que mie n'estez a vostre aise ; sy me dittes priveement ou ce mal vous tient et dont il vous puet estre venu adfin c'on y remedye anchois huy que demain, car [de] vostre grant infermeté que je vous voy avoir sent mon cuer grant mesaise et desplaisance.» (Comte Artois S., c.1453-1467, 137).
[6] «...Et ne doibt l'en avoir foy a vostre loy, qui dittes que les biens que vous avés et dont vous vivés viennent du dieu ouquel vous croés, et a ses menistres, serviteurs et messagez ne donnés que ce qui vous puet demourer ou quy jamais ne vous peult servir. Et pour tant dy je que c'est ja faulte trouvee en vostre loy, et plus ne vous en di». Sainte Marie ! comme fu doulant Jehan de Pontieu quant ainsi se senti redargué de Salhadin ! (Saladin C., c.1465-1468, 81).
[7] Gerars, oyant la pucelle, luy dist : «Belle, vous dittes verité, dont humblement vous remercye. Moult grant confort m'avés baillyé, et avés esté mire du mal que sy lonc temps m'a tenu, tant en parler que en chantant...» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 51).
[8] «Damoiselle, ce dist Gerart, pas ne dittes ainsy. Je ne vous escondis ne ottroye. D'aultre part vous savés que pour parjur seroye tenus se mon maryage faussoye. Et sy vous dy que pour fol et cornart seroye tenu se en sy hault lieu je pensoye. Chascun porroit dire que seroye fol et oultrecuidyé...» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 70).
[9] Gerars le regarda moult fierement et luy dist : «Dans chevalier, pour coy dittes vous ce ? Jamais ne creroye que a ceste cause me volsissiés faire aulcun desplaisir.» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 102).
[10] .. "Vous dirés au roy que il ne luy deplaise de savoir mon nom. Car j'ay fait veu de ne le dire a nul. Mais dittes luy que je suis ung pouvre chevalier de France qui cerche le monde comme chevalier errant..." (Belle Maguel. C., 1453, 6).

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