C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de divisees dans la Base des Partiels 

19 attestations 
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[1] ou ilz avroyent divisees puissances et repugnances, et adoncques l'une de ces deux puissances destruyroit l'autre (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 78).
[2] Ne reste mais que d'accorder Ses quatre dames moult prisees Qui jadiz furent divisees Pour les questions dessus dictes. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 1081).
[3] Et dirons premierement de celles qui sunt droictes, car parce qu'elles seront determinees et divisees, les autres qui sunt transgressions de elles seront manifestes, et pource que policie et policeme signifient une chose... (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 127).
[4] Ce est assavoir comment en democracie povres et riches avront ce que est equal, savoir mon se les honorabletés leur seront ainsi divisees que, posé que il soient mil povres et Vc. riches, se les mil pourront et devront estre equals as Vc. quant a ce... (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 259).
[5] Item, il semble que Dieu et nature ne veulent pas tele monarchie; mes semble que il aient ordené terre que pluseurs soient souverains princes parce que pluseurs regions sunt divisees ou separees par mers ou par grans fleuves ou palus, par forests, par desers, par montaignes, par lieuz inaccessibles ou inhabitables pourquoi les uns ne pevent converser avec les autres de tele conversation comme requise est entre gens d'un royalme ou d'une policie. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 291).
[6] Et tele chose est contemplation a laquelle peut venir la partie de l'ame intellective, qui est souveraine en homme. Apres il met comme les choses humaines sunt divisees proportionelment et conformeement a la maniere desus dicte. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 325).
[7] Et, mon tres redoubté Seigneur, en la presance de Vostre Majesté, ceste doubte a esté aultre foiz disputee, par maniere d'esbatement et de collacion, c'est assavoir se la puissance espirituele et la puissance seculiere sont divisees et toutes separees en divers suppos, ou se lez deux puissances sont sanz estre divisees ne aucunement separees, et en un maime suppot en la persone du Saint Pere de Ronme. (Songe verg. S., t.1, 1378, 4).
[8] Et, mon tres redoubté Seigneur, en la presance de Vostre Majesté, ceste doubte a esté aultre foiz disputee, par maniere d'esbatement et de collacion, c'est assavoir se la puissance espirituele et la puissance seculiere sont divisees et toutes separees en divers suppos, ou se lez deux puissances sont sanz estre divisees ne aucunement separees, et en un maime suppot en la persone du Saint Pere de Ronme. (Songe verg. S., t.1, 1378, 4).
[9] La seignorie, donques, de l'Impereur, qui vout avoir la monarchie du monde seür touz Roys et seigneurs terriens, fust contre l'ordenance de Dieu, qui avoit ja lez seignories du monde divisees entre Roys, princes, dux et aultres seigneurs terrians. (Songe verg. S., t.1, 1378, 51).
[10] De Droit naturel primerain, ne puet il prover aucune seignorie ; car, en celuy temps, lez seignories n'estoient pas ordenees, ne lez terres divisees, ne, adonques, n'estoit Roy ne Impereur. (Songe verg. S., t.1, 1378, 52).

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