| [1]
Vray est aussi que Dieu a voulu diviser ses graces a divers sains contre diverses maladies, tant corporelles comme espirituelles, aux quelz c'est bon recourir (* *, 168). |
| [2]
\ça, chancellier, vueilliez entendre D'escripre au juge sans dilay Tout ce que diviser vous ay (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 69). |
| [3]
Et pour ce est de miex de separer et diviser ceste office et de querir en elle telz sophismes. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 272). |
| [4]
...et encor les habitations de ceulz ont un office appellé agronomie, ce est de mesurer et diviser les champs. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 318). |
| [5]
Finablement, nous trouverons aprés moult d'autres choses que je vueil trespasser la maniere comment on peut partir et diviser le monocorde, c'est a dire comment on peut signer en une seule corde ou en une seule ligne pourtraicte en une seule superfice toutes les consonancies ou tous les sons qui sont ou peuent estre en nostre game et en toutes manieres de instrumens et d'en faire mesmes de nouveaulx, se on s'y veult appliquer. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 59). |
| [6]
...un Impereur puet bien craistre l'Empyre, mez il ne le puet pas, par rayson, diviser ne apeticer. (Songe verg. S., t.1, 1378, 155). |
| [7]
...il s'ensieut donques, selon rayson escripte, que saint Charles meismez povet exempter et diviser le royaume de France a l'Empyre, en le restituant a sez primieres franchises et libertés et en faisant de luy Empyre par soy (Songe verg. S., t.1, 1378, 286). |
| [8]
Il doit avoir la veue sayne et soubtille et doit savoir le usaige de congnoistre les vaynes et de les savoir diviser des nerfs et des artairez et doit savoir les lieux esquelz l'on doit savoir trouver les vaynes que l'on doit saigner (LE LIèVRE, Tr. saignée W., a.1418, 19). |
| [9]
...et expressément renoncent quant à ce lesdites parties, l'une partie vers l'autre, à tout ayde de droict escrit et non escrit, à toute exception de fraude et de barat, de tricherie et décevance, à toute cause d'ingratitude, au bénéfice de diviser actions, à tous statuts, grâces, privilèges, indulgences faicts et à leur octroyer, et à octroyer des apostres ou de Roy ou de quelques autres princes (Cartul. Laval B., t.2, 1332-1412, 257). |
| [10]
Le XIe jour de juillet, à Pierre Favier, fustier, demourant en Avignon, baillé VII florins VI gros, par le commandement de Monseigneur, pour le boys, et façon d'un engin que mondit seigneur avoit fait diviser à ung eschalleur, nommé Jehan du Plessis (Comptes roi René A., t.1, 1451-1480, 45). |
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Attestation de 