| [1]
Et convient que ce soit par telz gieux qui ne soient pas illiberalz ou villains et qui ne soient pas trop laborieus ne trop remis ou trop vers repos. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 336). |
| [2]
Comedies estoient uns gieux que l'en faisoit en publique, et se desguisoient les gens et prenoient faulz visages et recitoient personnages de choses villaines et deshonestes. Et faisoient rechignemens et laides contenances, si comme l'en seult faire es chalivaliz. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 338). |
| [3]
car ses gieux enfantelins estoient communement de choses qui peuent signiffier fais de chevalerie (Bouciquaut L., 1406-1409, 16). |
| [4]
A tous tieulx gieux voulentiers jouoit, ou aux barres, ou au gieu que on dit le croq madame, ou a saillir, ou a getter la darde, la pierre, ou si faites choses (Bouciquaut L., 1406-1409, 17). |
| [5]
...pour paver la nuefve cuisine, la cuisine delés la grande salle, la petite cuisine dessous la garderobe de monseigneur, le gieux de paume (Trés. Reth. S.L., t.2, 1330-1415, 607). |
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Attestation de 