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Les joyes que je pourtay d'icelluy païs d'outremer. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 10). |
| [2]
Les quelles joyes de celuy païs je pourtay pour donner a ma femme et aux seigneurs et dames de mon païs. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 82). |
| [3]
...mais est pelerin en une valee de lermes, plaine de joyes transitoires qui au jour d'uy sont joyes et demain pleurs, plaine de las et de temptations de l'ennemy, de tempestes et de tribulations, biens et maulx meslez ensemble, ou il n'y a point de stabilité. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 176). |
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...mais est pelerin en une valee de lermes, plaine de joyes transitoires qui au jour d'uy sont joyes et demain pleurs, plaine de las et de temptations de l'ennemy, de tempestes et de tribulations, biens et maulx meslez ensemble, ou il n'y a point de stabilité. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 176). |
| [5]
Et premierement en ce chapitre il parle de la science de bien mourir. Et la demonstre par ung exemple sensuel et materiel selon ce que on voit tous les jours avenir que une personne qui a mené sa vie en joyes, en plaisances et delices de son corps sans se preparer a bien mourir, meurt en grant douleur, en douloureux regrez et en grant paour. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 192). |
| [6]
Elle a tous ses sens de son corps comme clos et endormis et obscurcis a tout ce qui se fait par les mondains, et les a ouvers aux joyes des sains et des saintes. (* *, 30). |
| [7]
Se taisent doncques les charnelz et les hommes animaulx sans disputer de l'estat des sains, eulz qui ne congnoissent que amer privees joyes. (Internele consol. P., 1447, 258). |
| [8]
Lors, après toutes festes, joyes et esbattemens, comme on dit communément qu'il n'est si grande feste, ne joye qu'enfin ne convienne de partir, sy prirent tous ensemble congé les uns aux autres en grand amour et regret, comme si tous eussent esté frères. (Faits Lalaing K., c.1470, 244). |
| [9]
Helas ! mon chier amy tresdoulx, Avisés vous des beaulx plesirs, Des grans joyes et grans desduis, Qu'avons mené entre nous deulx Quant vous tenoye en tenps et lieu Que si doulcement vous amoye. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 104). |
| [10]
Tes grans maulx me font grant plesir Et une tresgrant alegrance Quant je bien remire et pance Les grans joyes de paradis. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 259). |
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Attestation de 