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Car lez sains mos sacramentés de baptesme que sainte Eglise et aussi la sainte Evangile sont telx : (r)N. je te baptize en nom du Père et du Fil et du saint Esprit» (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 304). |
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Et en vérité il n'y a nulle différence, fort que sciaux est ung mos arrabic et sonne autant que personne en nostre languaige. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 314). |
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...ung saint heremite (...) appellé Arseny, qui en troys mos enseigne la somme de toute parfection, c'est assavoir : Fuy les hommes ou compaigniez mondaines, parle pou, et te repose en Dieu. Et c'est ce qui est figuré en ceste hystoire en laquelle est le docteur, le disciple et l'ange denuncent ceste doctrine en une eschelle de degré en degré. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 195). |
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Non, et par Dieu, Se t'estois me femme en ce lieu, Vausis ou non vausis, gargate, Tu dirois les mos bien en hatte. MIQUELETTE Je diroie ainchois que les deaulles Te peussent trainer en leur maules Et te desquirer piece a piece. (Mandel. T., c.1450-1475, 187). |
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...il luy avoit donné son dyamant a telle heure et a telle, son cheval en luy disant telz mos et telz ; il fist alors sy entendible raport et sy veritable que tout en fu esbahy le conte (Comte Artois S., c.1453-1467, 147). |
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A ces mos ay bien entendu Qu'il [Jésus] vouloit que je retournasse Et que ma vie en crois finasse ; Sy ne l'osay oncques desdire. (Mart. st Pierre st Paul R., c.1430-1440, 138). |
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Mon seignieur, j'avoye en prepos De maintenant dire deux mos, S'il vous plaisoit ycy rester Et de moy ung po escuter. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 153). |
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Car l'enfant [Jésus] est moult grandement Amé de tous grans et petis, Pour les mos qui de lui sont dis, Et s'il estoit venus en age, Il vous porroit porter dommage Si grant que jamais amender Ne le porriez ne résister Al opinion du pays (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 53). |
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Vous avez dit mos de marchans, Puisqu'einsi est, nous marchandons. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 121). |
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Et combien que ne soie en science aprise ne stilee de langaige subtil (dont saiche user de belle arrenge et mos polis bien ordenés qui mes raisons rendissent luisans), pour tant ne l'an lairay a dire matierelment et en gros vulgar l'oppinion de mon entente (CHR. PIZ., Déb. R. Rose H., 1401-1402, 50). |
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Attestation de 