C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de nes dans la Base des Partiels 

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[1] ...la puneise plaie de nes et de narilles par lesquels j'ai mult sovent pecché. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 13).
[2] Et comment qe le nes soit ore excoimous, si serra ele la plaie qe plus tost purrira et puante serra. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 14).
[3] La diseneufvisme cause, c'estassavoir que entre lez nobles de toutes nations des catholiques les mainsnes, c'estassavoir lez secons et lez tiers nes et autres qui selonc lez coustumes dez pays ont petite ou nulle partion en l'iritage de leurs peres, lezquelz souventefois sont contrains par povrete de poursivir lez guerres injustes (...), pource qu'il ne sevent autre mestier, il font tant de maulz que ce seroit horrible chose a escrire dez pilleries et oppressions qu'il font au povre peuple - tels gens nostre sainte Chevalerie benignement en certain nombre recevra et leur amenistera honestement leur vivre (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 70).
[4] ...mais partout ou on est, aux champs, a la ville, nes en un bain (...) puet on querir et retourner a soy et se oster dou monde. (* *, 33).
[5] Tant qu'i luy escorcha le nes. (Pipée R., c.1470-1480, 202).
[6] ...je ne suis pas Francois de nature, ains fuz nes et nouris en la cité de Marcelle. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 72).
[7] Et le Chevalier Bleu le assist sur l'autre chevalier de si grant puissance que, au briser de la lance, il abatit chevalier et cheval tout en ung mont ; et au cheoir que le chevalier fist, il se estonna toute la teste tellement qu'il se pasma tant qu'il sembloit qu'il fust tout mort ; le sang lui sailloit par la bouche et par le nes a grant randon. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 82).
[8] ...car il seignoit du nes, des aureilles, de la bouche, des orions qu'il se estoiz donnez ; et aussi lui sailloit le sang des yeulx que a paine povoit il veoir a aller. (Charles de Hongrie C., c.1495-1498, 150).
[9] Mesiaux suis, s'ai le corps puant, Je regar que nes li truant De leur compaignie me boutent Pour malaingne que il redoutent, Qui ci est tresforment pugnaise. (Jour Jug. R., c.1380-1400, 226).
[10] Adont vesti mon vestement, Si m'atournay d'un atour simple, Touret de nes je mis et guimple (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 30).

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