C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de nuement dans la Base des Partiels 

21 attestations 
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[1] Et y a en icelle cité de grans barons et la principalle ville est nommée Digon qui n'est pas cité et sont les cités d'icellui nuement au roy. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 44).
[2] ...et lui bailla la ville de Paris et toutes les autres citez, villes, ports, chastiaux, qui estoient nuement au Roy (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 93).
[3] Pour quoy se il semble a aucuns que la dicte descripcion soit digne de audience, je leur racompteray assez nuement l'ordonnance de la chose faicte si comme elle a esté baillee et recitee par gens notables dignes de foy et de toute credence. (RASSE BRUNH., Flor. Elvide B.N. C., a.1456, 2).
[4] ...ma meschinete saches (...) que ie suis ycelle qui nuement et visiblement sapparu ou temps de lexil et de sa tribulacion a mon chier ame filz Boece le tres sollempnel philosophe (CHR. PIZ., Avision T., 1405, 148).
[5] ainsi tout le droit de la monnoie seroit nuement desvolu au Prince (ORESME, Monnoies W., c.1365, LXXII).
[6] ...la congnoissance de toutes choses qui y adviennent, au jugement et enseignement des francs hommes de notre dite chastellenie d'Aire, lesquelz sont nuement et sans moyen ressortissans en notre Court de Parlement (Hist. dr. munic. E., t.1, 1330-1482, 132).
[7] Et que nuls ne puist prendre denier-Dieu ne vendre, devant chou que on aroit descouviert, ne depuis que on aroit recouviert, ne nul markiet livrer a conteck ne a scanche ; ains convient que li markiés soit tout nuement fais, pris et ensengniés, depuis que on aroit descouviert, anscois con fache recouvrir. (Drap. Valenc. E., 1337-1407, 304).
[8] ...femme qui tient sa terre nuement du mari (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.4, 1385-1496, 190).
[9] ...la riviere dudit Vrigne est a moy nuement, et me vault pour chascun an VIII solx par. ou enviroin. (Trés. Reth. L., t.3, 1415-1490, 189).
[10] Par mi ce toutevoies que ce qui est delaissié ou permué par les diz religieux à nostre dit conseiller, à la descharge de sa dicte terre de Lauriere, demourra et demeure prophane et non amorti, tenu nuement de nous par foy et hommage lige (Doc. Poitou G., t.5, 1377-1390, 243).

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