| [1]
Fault il songer si longuement? E, dea, maistre Verdier, vrayment, Reverdi comme vert montant, Vous farsez vous? Av'ous bon temps? Vous avez beau cryer de gorge! (Pipée R., c.1470-1480, 148). |
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CUIDER (...). Est il bien Jouhen! On le pleume la au vent d'eul; Il en crie et maine deul Et si ne soit partir de la. Il y fault faire ung grant estormie; [il sort en criant]. Bou ha ha! VERDIER (...). Encore ne m'av'ous mye, Je scay bien jouer des tallons. (Pipée R., c.1470-1480, 204). |
| [3]
Que par vous (n)[v]ous ilz soient parfaictes Quant ceste charge vous avez Et que en puissance vous estes Pour nostre ost tres bien gouverner. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 107). |
| [4]
Ne en [en] vous (n)[v]ous ont en reverence, Mes tout a opposite sont, Vivent du toute leur plaisance ; Je ne puis ce fait consentir Vostre requeste, chere mere, Que l'air est si enpenty [] Pour leur vie orde et deputaire, Ne n'ont en aucune maniere De vous ne de moy ramembrance. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 288). |
| [5]
«...Il m'avoit sur ma loy fait conjuration ; Et je n'ous de mentir nulle dévocion.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 405). |
| [6]
PAIX. «...ge m'en vois tout a estrous est[r]ous, Puis que ge ne puis estre oye, O vous ne remaindray mie.» (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., App., p.1358, 375). |
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