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Et donqes si le [l'eau de roses] prent homme et moille les temples pur attempler les sens de la teste ; et l'odour si conforte moelt. Et ausi l'en prent et si moille homme les paumes de mayns et de pieez et ausi sovereynement la poitryne, qe moet conforte le coer quant il gist en celle male chalyne ; et ensi par ceste eawe de roses qe tant est confortant a malade, si en devient tout pleyn garriz et en bon poynt. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 150). |
| [2]
Le corps ont aporté ou temple Tiervagant : Plus de C Sarrasin viènent derier plorant, (...) Cil vont apriés le corps leurs paumes débattant ; Et d'esqualettes vont pluiseur esqualetant, C'on n'y oïst tonner le tonnoile bruiant. (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 253). |
| [3]
Pour deux paumes et demy de drap vert pour couvrir une targuette (Comptes roi René A., t.1, 1451-1480, 30). |
| [4]
...dix paumes de vette bigarrée (Comptes roi René A., t.2, 1417-1480, 35). |
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Attestation de 