C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de province dans la Base des Partiels 

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[1] ...c'est ... dire gouvernement monostique, qui est d'une singulliere personne, gouvernement yconomique, qui est d'une maison, et gouvernement civil ou politique, qui est d'une cité, province et royaume. (GERMAIN, Discours outr. S., 1452, 316).
[2] Malastan, province, et est le païs o- croissent les balaiz. (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 448).
[3] Ferinus, province o- l'en treuve marguerites precieuses (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 448).
[4] il leur sembloit que le roy le devoit marier en son royaume a quelque fille de haulte lignee qui fust seule heretiere ou a quelque autre fille de son sang, et luy donner quelque belle terre ou province, que seroit cause de le faire demeurer ou royaume plus continuelment. (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 65).
[5] Le prophette le me tesmoingne Quil parle de ceste besoingne Et dit ainsin, selon m'estude, "Toy Bellean, terre de Jude, Tu n'es pas petit province, Car de toy il saudra ung prince Quil mon peuple guovernera ;" (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 67).
[6] Sires Pilate, nostre prince, Vous savés et toute la province Que ce faulx enchanteur disoit Qu'au tiers jours ressusciteroit (Myst. Pass. Amb. R., c.1474-1500, 74).
[7] Puissant recteur du saint empire, Empereur de la gent romaine A qui toute province humaine Doit hommaige et obeissance De tout mon pouoir et puissance, Je feray vo commandement Et la teneur du mandement Que par vous m'a esté transmis J'annonceray en tous pays (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 18).
[8] Sy m'an voy doncq diligemmant, Sans arester, jusques au temple De Pantheon, qu'est large et emple, Ouquel tous les dieux sont assis De toute province et pays, Par la vertu de nigromance, De laquelle l'art et science Je monstray jadiz a Virgille, Qui en savoit moult bien le stille (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 29).
[9] Vous avés surtout le renom D'estre le plus grant puissant prince Qui fut oncqu'en nulle province, Em pays ne en nulle terre, Car, quant vous plaist, vous pouez guerre Faire contre tour et castille, Par telle contrée et par ville. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 68).
[10] Subversion de province fertile Es entregetz de la guerre inutile M'a fait renger a rayson telle quelle, Quoy qu'on me dist lors Naples la gentille (LA VIGNE, Libelle cinq villes B., 1509, 180).

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