C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quilles dans la Base des Partiels 

10 attestations 
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[1] Affin que point ne nous haston, Ce lui feust un propre baston Pour les quilles selon sa force. Rien n'y voy a dire fors ce, Que le baston fut de nefflier, Si n'estoit pas doulx a ploier; Et il fault que le baston plie Aux jeux des quilles a la fie. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 259).
[2] Affin que point ne nous haston, Ce lui feust un propre baston Pour les quilles selon sa force. Rien n'y voy a dire fors ce, Que le baston fut de nefflier, Si n'estoit pas doulx a ploier; Et il fault que le baston plie Aux jeux des quilles a la fie. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 259).
[3] Pouac! cela sont mes coustumes, Ne les laisser gourpin ne hargne. Mais a Parouart la grant vergne Ung ange mist sur moy la poue Pour moy graffir; et Gautier broue Des quilles (Gaut. Mart. A., c.1480-1500, 167).
[4] «Allez, allez la vostre voye Messeigneurs ; que Dieu vous convoye ! A qui plantez vous voz coquilles ? Troussez voz bastons et voz quilles Et faictes vostre part ailleurs...» (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 188).
[5] En yver jouent aux billes Et au parquet et aux quilles Et aux meriaulx et aux noix Et a autres esbanois (CHR. PIZ., Dit pastoure R., 1403, 233).
[6] \à mondit seigneur le comte de Charroloys, pour jouer aux quilles et à la paulme avec et en la compaignie de monseigneur de Guienne et autres, à plusieurs foiz 6 frans 15 solz tournois (Comptes Etat bourg. M.F., t.1, 1419-1420, 197).
[7] Du brelenc, jeux de dez, tables, quilles et boulles en la ville et chastellenie de Furnes, que monseigneur donna pieça à maistre Baude des Bordes, son secretaire, à sa vie (Comptes Etat bourg. M.F., t.3, 1416-1420, 85).
[8] Ledit Tassin, pour une petite table pour maistre Jehan le fol, pour 4 chaières, 2 formes et 11 quilles, achetées du commandement du Roy, 8s. 7d. (Comptes argent. rois Fr. D.-A., I, 1352-1360, 225).
[9] ...ledit supliant s'en alla en ung chenevreau près nostre ville de Poictiers, avec ung nommé Meriache et autres compaignons estans audit chenevreau, lesquelz jouoient aux quilles, et illec se print à jouer avec eulx. Et ainsi qu'ilz jouoient, y arriva Guillot Varlet, qui pareillement se print à jouer, et ainsi qu'ilz eurent getez leurs copz, ils furent parelz en jeu, tellement qu'il y eut rapeau (Doc. Poitou G., t.12, 1475-1483, 223).
[10] Et après qu'il avoit fait ses prédicacions, vers la fin il admonestoit moult instamment, tant sur dampnacion d'âme comme sur paine d'excommeniement, que toutes gens qui avoient en leurs maisons tabliers, eschequiers, cartes, quilles, dez et aultres instrumens dont on pouvoit jouer à quelque jeu de plaisance, les apportassent à luy. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.4, c.1444-1453, 305).

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