C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de recours dans la Base des Partiels 

29 attestations 
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[1] Moult furent esbahis princes et barons d'entour ly, et non merveilles, quant virent le souverain des sages et prudens hommes de son royaulme soy mesmes interimer en une folle oppinion, et que non prenant son recours en Dieu qui fait vivre et garir, voluntairement detint a nature sa sustentance, qui demandoit encore duree. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 310).
[2] ...en adversité quant on se sent desolé et que on ne scet ou avoir recours fors a Dieu (* *, 25).
[3] Car toudis Moÿse eut son recours [re]cours au tabernacle pour avoir solucion de toutes doubtes et questions, et fuy a l'aide d'oroison pour surlever les perilz et improbités des hommes. (Internele consol. P., 1447, 182).
[4] Mais se tu as recours a celui qui tousjours vit et a la verité permanente, ton ami qui se departira de toy ou qui morra ne te corroucera ja. (Internele consol. P., 1447, 190).
[5] Hault Plasmateur que povre cuer adresse, Voy la doleur et le piteux martire, Que par Pluseurs le Povre Peuple tire. Gette sur luy tes doulz yeulx de pitié, Faiz apparoir la grande amitié De quoy tu l'ayme, en luy donant secours. Tu es son pere, son reffuge et retours [l. recours] (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 195).
[6] Dame, à vos sont tous mes retours [l. recours]; Mere de Dieu, par le doucheurs (Sept péchés C., c.1300-1350 [p.1478], 219).
[7] Seigneurs en qui gist le recours De nostre planiere santé, Treffort nous sentons molesté Et de maladies diverses, Les plus dures et plus perverses Qu'oncques eut corps de crëature. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 368).
[8] Mon enfent, mon bien et m'amour, La chose que plus je reclame, Que mon cueur desire et plus ayme, Le recours de mon esperance, Ma doulce et parfaicte alïance, Comment vous est, par vostre advis ? (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 520).
[9] Item, apres longtemps fu Naptanabus, roy d'Egipte, qui en tous ses grans fais avoit recours aux ars mathematiques (ORESME, Divin. C., c.1366, 70).
[10] Et ce est affin que le liseur seculier, aucunefoiz non fonde en clergie, lisans les hystoires et misteres de primeface obscures, pour les noms non cogneuz, attribuez aux personnes, vertuz et autres choses de leur propres noms transmuees, ledit lisant ayt son recours a la table et exposicion susdicte, qui sera assez legere chose a faire (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 102).

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