C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de valent dans la Base des Partiels 

135 attestations 
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[1] Car chascun feu lui paye tous les ans V cacques de coton qui bien valent l... un flourin et demi (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 301).
[2] Pour ce, icy, VIII saluz d'or, chacun salut a value au pris de XXX sous tournois, valent XII livres tournois (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 176).
[3] ...et lire de ceo plustost qe d'autres trufes qi gaires ne valent, si de vos, Sire, l'estoire ne soit en remenbrance. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 102).
[4] ...et ne cessent ces cuqes ne ces taverners de crier lour bons viandes et le bone vyne ; voir tout autrement les preisent q'ils ne valent, car ils crient q'ils sont si bons, et si font ils mult de mal mult sovent. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 119).
[5] ...telz benefices quy enclinent et incitent a recepvoir ce sacrement sont meilleurs et valent mieulz que les causes quy en seulent retraire, comme cremeur de conscience, indignité de vie, ignorance du bon plaisir de Dieu, pusillanimité et aultres teles causes. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 166).
[6] Et vous veez notoirement Que l'homme que vous condampnez Toujours mais a estre dampnez N'a pas fait si grande malisce Que votre rigueur le pugnisse Comme Lucifer et les siens Qui ne valent maintenant riens. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 4).
[7] Il convient qu'il soit couronné, Et par ce on lui monstrera Le royaulme qu'il dist qu'il a, Mais la couronne pas d'argent Ne sera, ne d'or vraiement, Elle sera de jons marins Qui valent pis que romarins, Des plus agus convenra prendre Et des plus picquans pour entendre. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 167).
[8] Mais, plus, car par luy noz offices En valent moins la quarte part ; Le peuple de nous se depart Pour suyvir ce meschant infame (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 416).
[9] Secondement, il peut bien avenir dedens la ryme que deux sillabes ne valent que une seule au prononcier. Et c'est quant le mot de devant ou la sillabe sonne en e, comme dit est, sonnant en la tierce maniere dessus dicte et le mot qui s'ensuit ou la sillabe aprés par e ou par aucun autre voieu commence, car lors les deux voieux ne valent que un. Et c'est ce que on veult dire quant on dit que un voieu conçoit l'autre. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 76).
[10] Secondement, il peut bien avenir dedens la ryme que deux sillabes ne valent que une seule au prononcier. Et c'est quant le mot de devant ou la sillabe sonne en e, comme dit est, sonnant en la tierce maniere dessus dicte et le mot qui s'ensuit ou la sillabe aprés par e ou par aucun autre voieu commence, car lors les deux voieux ne valent que un. Et c'est ce que on veult dire quant on dit que un voieu conçoit l'autre. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 76).

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