C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vefves dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] Jason fu lors mené au palais a grant louange des dames et des damoiselles, des chevaliers et du pueple. Les vefves regretoient qu'il n'estoit plus tost venu, les non vefves s'esjoissoient de sa venue. Les desesperés et les desesperees recouvrerent corage nouvel. En Jason mirent leur esperance, en sa force se fierent (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 145).
[2] Jason fu lors mené au palais a grant louange des dames et des damoiselles, des chevaliers et du pueple. Les vefves regretoient qu'il n'estoit plus tost venu, les non vefves s'esjoissoient de sa venue. Les desesperés et les desesperees recouvrerent corage nouvel. En Jason mirent leur esperance, en sa force se fierent (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 145).
[3] ...ou d'une sentence d'ignorance fardee, ou d'un debat entre deux mariez, ou de vefves, ou de bigames, et d'orphelins qui auront pissie contre le soleil, ou de concubinaires seculiers, qui ne se pourra prouver se non par souspecon, (...) lesquelx nous attrairons a nous et de fait par l'une de noz clefz, et en ferons justice, non tant seulement par nostre espee espirituelle, mais par nostre temporelle. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 302).
[4] Item que toutes les femmes desdits maistres saulcissiers et charcuitiers qui demeureront vefves pourront joyr et user dudit mestier et icelluy exercer, tout ainsi que se leurs mariz vivoient, excepté que durant leur vefvage ils ne pourront prendre aucuns apprentilz ne en tenir aucuns, s'il n'a esté abonné et prins audit mestier auparavant le trespas de sondit mary (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 321).
[5] Item que toutes femmes vefves de maistres dudit mestier et marchandise, joyront desdites libertez d'icelui mestier, durant leur viduité seulement, pourveu qu'elles se gouverneront honnestement et prudemment de leur corps, ainsi que le contiennent les anciennes ordonnances, mais si tost qu'elles se remarieront a gens d'autre estat, elles perdront lesdites libertez et ne joyront plus d'icelui mestier et marchandise. (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 455).
[6] Et semblablement nous voulons, statuons et ordonnons que les femmes des maistres dudit mestier qui demourront vefves, puissent et leur loyse continuer mener et conduire le fait desdits mestier et marchandises (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 509).
[7] Et pareillement n'entendons ne voulons que soubz couleur de chief d'euvre, que doresennavant sera fait oudit mestier, l'en puisse ou doye asubjectir, asservir, ne contraindre lesdits espiciers et apoticaires, et leursdites vefves, au guet de quatorze deniers, ne ès autres charges subsides et subvencions quelzconques que ont accoustumé de faire et paier les gens de plusieurs autres mestiers (Mét. corp. Paris L., 1351-1500, 510).

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