"Tirer de la sépulture" ... ...
 

"Ensevelissement" ...

Rem. Cf. a.prov. ensebeliment ds FEW

V. aussi ensevelissement
 

Empl. trans.

A. -

Au propre

1.

"Envelopper (un mort) d'un linceul" ... ... ... ... ... ... ...

-

P. plaisant. ...

-

P. anal. Ensevelir qqc. "Envelopper qqc. (pour le cacher)" ...

2.

"Mettre (un mort) dans une sépulture" ... ... ... ... ... ... ... ... ...

-

[Dans un cont. métaph.] "Faire disparaître, engloutir" ...

-

Loc. Mort et enseveli

.

[D'une chose] "Disparu" ... ...

.

[D'une personnif.] ...

B. -

P. anal.

-

"Placer qqc. à l'intérieur de qqc." ...

-

Empl. pronom. à sens passif [D'une chose] S'ensevelir qq. part. "Se tenir caché, enfermé qq. part" ...

-

[D'une pers.]

.

Enseveli en/entre qqc. "Enfoncé, enfoui dans (une chose concr. ou abstr.)" ... ...

.

Estre enseveli sous qqc. "Être recouvert de qqc." ...

.

[Dans un contexte grivois] ...

C. -

Au fig.

-

Ensevelir une chose abstr. "Faire disparaître qqc., mettre en oubli" ... ... ... ... ...

-

Estre enseveli à qqc. "Être insensible à qqc., comme par la mort" ...
 

A. -

"Action d'ensevelir" ... ...

Rem. Ex. d'a.fr. ds TLF.

B. -

P. anal. "Action de faire disparaître (ici sous l'effet du feu), disparition" ...

-

Au fig. ...
 

"Celui qui ensevelit" ...
 

"Ensevelir à nouveau"

REM. Cligès C.T., 1455, 94r (oingt et rensepvelli de nouvelle).
 

"Ensevelir" ...

Rem. Ex. d'afr. ds GD VII, 410a, s.v. sevelir.

V. aussi sevelir
 

"Ensevelissement" ...

V. aussi sevelissement
 

"Ensevelissement" ... ...
 

"Inhumation, mise au tombeau, ensevelissement" ... ...

Rem. Doc.1354 (Neuchâtel) ds GD VII, 410a. Sans doute occitanisme.
 

Sevelir un mort "Ensevelir, mettre un mort au tombeau" ... ... ... ... ... ... ... ... ...

-

Empl. pronom. "S'ensevelir, entrer au tombeau" ... ...
 

"Ensevelissement"

REM. Doc. 1417 (Lyon, .XII. torches de cire portees au sevelissement de feu maistre Martin Bennot) ds GD VII, 410a.

V. aussi sepelissement
 

"Gisant" ...

REM. Cf. n.305, p.365, qui signale que Ch. Marchello-Nizia, dans une communication personnelle, estime possible que ce soit une forme de sepelire (r remplaçant l), (p.365, n.162).