| 12 exemples |
| 1 | ..."je suis certain, disoit il, que ne mort, ne vie, ne angelz, ne principats, ne vertuz, ne choses presentes et fetures, ne force ne haulteur, ne parfond, ne autre creature me pourra diviser de la charité de Dieu qui est en Jhesu Crist nostre Seigneur". (GERS., P. Paul, a.1394, 493). |
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| 2 | ...Dieu veuille que il n'y ait divisions particulieres qui soit aspoir cause de diviser vostre royaume en plusieurs parties. (JUV. URS., Verba, 1452, 269). |
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| 3 | Selon quatre manieres de temples, desquelz parle l'Escripture saincte, nostre sermon se pourroit diviser en quatre briefves parties (GERS., Purif., 1396-1397, 60). |
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| 4 | Et de ce faire requirent lesditz Cueurs monseigneur du Lo, Vuaste de Montepedon, lors bailly de Rouen, Charles de Meleun, et plusieurs aultres grans personnaiges, lesquieulx conspirerent entre eulx de partir et diviser les biens dudit conte de Dampmartin. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 157). |
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| 5 | Je suis de feible confetture, De feible sens, feible nature Et ne say pas tout diviser. (DUPIN, Mélanc. L., c.1324-1340, 86). |
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| 6 | Il doit avoir la veue sayne et soubtille et doit savoir le usaige de congnoistre les vaynes et de les savoir diviser des nerfs et des artairez (LE LIÈVRE, Traité saignée W., a.1418, 19). |
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| 7 | Ainsi vous pourrez diviser Le mal de la chose parfaicte. (LA VIGNE, S.M., 1496, 384). |
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| 8 | Partir est diviser ou mettre ung nombre en plusieurs parties egales (NIC. CHUQUET, Triparty M., 1484, I, 599). |
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| 9 | ...la division des nobles et princes ont fait diviser les gens de l'eglise et le peuple (JUV. URS., T. rever., 1433, 70). |
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| 10 | ...et se commencerent [des prétendants] a diviser comme devant et plus encores, car chascun se tenoit contempné et mesprisé (JUV. URS., Loquar, 1440, 341). |
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| 11 | ...et que, comme il estoit le plus fort, il failloit qu'il fust le plus saige et qu'il les gardast de diviser et les entretenir joinctz de tout son povoir et qu'il dissimulast toutes ces choses (COMM., I, 1489-1491, 78). |
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| 12 | J'ay veü beaucoup d'exemples de ceste matière à l'oeil, et ne parle pas par ouyr dire ; et sommes bien subjectz à nous diviser ainsi à nostre dommaige, sans avoir grant regard à la consequence qui en advient. (COMM., I, 1489-1491, 91). |
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