| 12 exemples |
| 1 | ...de laquelle somme de mil libvres tournois je me tien à bien content et paié, et en quicte ladicte Court de Parlement (BAYE, II, 1411-1417, 38). |
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| 2 | LE PREMIER HISMAELICTE. (...) Prince de vous prenon congié ; En la terre demeurerez Et licence nous donnerez D'aller en une terre estrange Pour marchandise prendre en change (..). LE PRINCE DES HISMAELICTES. Ou il vous plaira Allez ; a Dieu, car je vous quicte. (Myst. Viel test. R., t.3, c.1450, 5). |
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| 3 | JUDA. Cheminez tant que Brie est belle. Il [Joseph] est vostre ; allez, je vous quicte. Faictes en ung Madianite, Car jamais veoir ne le voullon. (Myst. Viel test. R., t.3, c.1450, 18). |
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| 4 | [Contexte métaph. ; c'est Sapience qui parle] Le pris y est tant acceptable, Tant precïeux, tant agreable Que nature humaine tient quicte ["je considère que la nature humaine s'est acquittée de tout ce qu'elle devait"] Et toute la franchist et quicte De ce que luy pouoit devoir (GRÉBAN, Pass. J., c.1450, 454). |
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| 5 | Veez cy l'argent qu'ilz ont donné, C'est vingt deniers ; je les en quicte (Myst. Viel test. R., t.3, c.1450, 24). |
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| 6 | Or n'ont de quoy paier tous deulx [.] Si leur ["le leur"] quicte que riens n'y clame ["en sorte que rien ne réclame"] (GRÉBAN, Pass. J., c.1450, 186). |
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| 7 | Donne nous pain cothidïen Chascun jour, car il le fault bien. Quicte nous noz debtes plusieurs, Comme quictons a noz debteurs. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 389). |
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| 8 | Pencez que l'Ennemy ne dort poinct ; Dont en effect, propox final, Je le vous quicte et n'en veulx poinct. (LA VIGNE, S.M., 1496, 405). |
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| 9 | Pleure tout seul, Se tu veulx, car c'est grant follie Quant l'homme se merencollie ; Toute ma part du dueil je quicte. (Myst. Viel test. R., t.4, c.1450, 345). |
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| 10 | Je suis si las que n'en puis plus. Quant a moy, j'en quicte mon tour. (MICHEL, Myst. Pass. J., 1486, 311). |
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| 11 | Trop rigoreuse estes et deputaire, Qui n'espargnez ny sceptre ny coronne. Tout ruez jus, le bas siege et le trosne. De vous me plains et ne vous ayme mye, Vous declarant ma mortelle ennemye. À tousjoursmais vous quicte et vous renonce (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 169). |
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| 12 | LE COQUIN. Vous voyez l'estat ou je suis, Je croy qu'il fault que je vous quicte. LE PRINCIPAL. (Et pour) Quoy ? LE COQUIN. Cela est une redicte. Jamais ne me fistes nul bien. L'ERMITE. Aussi, par semblable moyen, Il est saison que je m'en voise. (Sots gard., a.1488, 111). |
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